Nous allons terminer ce voyage urbanistique par une évidence. La gestion impossible de l'espace public due à l'automobile. Nous reproduisons en vacances les modes de mobilité habituels, peu d'occupants par voiture et une consommation excessive d'espace.
Sur le pont amenant les voitures du front de mer de La Baule Pornichet vers le petit port, des voitures de pêcheurs sont stationnés. Les vélos circulent difficilement.
Le parking est saturé.
Pour conclure, on peut se demander comment les stations balnéaires très attractives de la France vont gérer le partage de l'espace lorsque plusieurs millions de touristes chinois et indiens ayant fait fortune dans leur pays viendront visiter nos côtes.
Un réforme urgente de nos façons de nous déplacer s'impose. Les modifications à la marge, si utiles soient-elles, ne suffisent plus.