26 novembre 2006
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Je transmets un texte de cap21 Midi-Pyrénnées et qui montre l'incapacité de notre pays à travailler transversalement au delà d'une logique manichéenne. Les grands perdants sont les français et la planète.
20 Minutes | édition du 21.11.06
Hélène Ménal
* Syndicat intercommunal des transports publics de la région toulousaine
Note du blog master: pendant que les coqs font leurs petits combats infantiles, la banlieu s'engorge, s'engorge... nos jeunes mettent des heures à rejoindre leur lieu d'études... merci pour eux...je crois qu'il n'y a qu'une solution à tous les mots c'est le ni droite ni gauche proposé par CAP21
Les transports urbains toulousains sont toujours dans l'impasse. Tisséo, l'autorité organisatrice, a pris hier acte du retrait du conseil général et fait une croix sur ses 30 millions d'euros de contribution annuelle. Il ne reste plus que trois collectivités : le Sicoval et le SITPRT*, politiquement à gauche, et la communauté d'agglomération du Grand Toulouse, où l'UMP a la majorité. Et hier, elles n'ont pas réussi à se mettre d'accord sur une réforme statutaire. « Je ne sais pas si nous aboutirons et, dans le cas contraire, quelles seront les conséquences », avoue Jean-Luc Moudenc (UMP), président de Tisséo et maire de Toulouse.
Il voit dans ce nouveau blocage la patte du conseil général PS. Privés de statut juridique, les délégués de Tisséo doivent se borner à « expédier les dépenses courantes » et ne peuvent plus délibérer sur les grands projets comme le prolongement de la ligne B. En outre, même si ce problème se règle, il restera celui de la « pension alimentaire ». Car après le « divorce » entre Tisséo et le conseil général, il va falloir s'occuper des « enfants » : « La ligne A, la ligne B, les emprunts que nous avons contractés et décidés ensemble et les frais de fonctionnement annuels », résume le maire de Toulouse. Le bras de fer politique pourrait vite tourner au contentieux financier. Au détriment des usagers et aux frais des contribuables.
Il voit dans ce nouveau blocage la patte du conseil général PS. Privés de statut juridique, les délégués de Tisséo doivent se borner à « expédier les dépenses courantes » et ne peuvent plus délibérer sur les grands projets comme le prolongement de la ligne B. En outre, même si ce problème se règle, il restera celui de la « pension alimentaire ». Car après le « divorce » entre Tisséo et le conseil général, il va falloir s'occuper des « enfants » : « La ligne A, la ligne B, les emprunts que nous avons contractés et décidés ensemble et les frais de fonctionnement annuels », résume le maire de Toulouse. Le bras de fer politique pourrait vite tourner au contentieux financier. Au détriment des usagers et aux frais des contribuables.
Hélène Ménal
* Syndicat intercommunal des transports publics de la région toulousaine
Note du blog master: pendant que les coqs font leurs petits combats infantiles, la banlieu s'engorge, s'engorge... nos jeunes mettent des heures à rejoindre leur lieu d'études... merci pour eux...je crois qu'il n'y a qu'une solution à tous les mots c'est le ni droite ni gauche proposé par CAP21